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BIO :
 
Expositions personnelles :
 
2019 - La trace - Galerie Géraldine Banier, Paris
2018 - Secondes vies - Galerie Géraldine Banier - Paris
2016 - OOG à travers - Only One Gallery - Canada
2015 - Pluriels Singuliers - Galerie Géraldine Banier - Paris
 
Expositions collectives :
 
2021 - Paradiso - Galerie Géraldine Banier - Paris
2016 - Qui ne dit mot consent - Galerie Géraldine Banier - Paris
2014 - L'effet Papillon - Galerie Géraldine Banier - Paris
2013 - Rose me tender - Galerie Géraldine Banier - Paris
2013 - Les Mondes perdus, Bizarro - Paris
2012 - Bizarro à Saint Germain - Paris
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Nous écrire à propos de Manuèle Bernardi
Après des études à l’Académie Roederer et aux Beaux-Arts de Paris (1983), elle devient décoratrice et costumière. En 1990 Manuèle Bernardi choisit de se consacrer à un travail plus personnel à travers différents médium : le dessin, puis la sculpture. Depuis 2014, elle créé des installations sous plexiglass, et en 2021 elle présente ses premières oeuvres brodées sur papier.
Toutes les oeuvres sont l’expression d’une seule et même quête. Manuèle Bernadi explore le lien, la relation à l’autre. C’est un message optimiste et positif qui est délivré par l’artiste.
 
Dans sa représentation de la femme, ses sculptures, terres cuites ou bronzes, des Callipyges, aux pieds larges bien ancrés dans la réalité, se tournent inconditionnellement vers l’autre. Elle cherche à rendre perceptible l’invisible émotion de deux êtres qui se connectent, l’alchimie d’un groupe qui se meut vers une destination commune.
 
Dans ses installations, dont la frèle matière est consolidée par des fils invisibles, Manuèle étudie la faune et la flore comme source d’une inspiration pour une vie commune où le lien fait rempart. Les volumes-sculptures, véritables biotopes s’érigent en bouclier protecteur d’une vie quotidienne matérialiste.
 
Si les installations de Manuèle Bernardi ont une haute densité poétique, elles recèlent en leur cœur une fragilité troublante. Attachés à des fils de nylon, ces petits riens vacillent joyeusement sur eux-mêmes, inconscients de  leur signification. Individuellement ils ne sont que les traces d’une vie passée, d’un homicide involontaire, ensemble ils reforment un écosystème frémissant qui cherche à protéger son centre. Une constellation nouvelle autour d’un astre visible ou dissimulé qui réinsuffle une forme de vie. L’allégorie ne s’arrête pas là, Manuèle protège ses installations d’une feuille de plexiglass transparent qui n’est pas sans rappeler la couche d’ozone.

M A N U E L E 

B E R N A R D I

 

Née en 1959 à Saint-Tropez (France).

Vit et travaille à Roussillon (France).